Ce que j'ai à dire; ce que j'ai pu lire

tout est dans le titre. Et par moment, j'ai même à dire sur ce que j'ai pu lire.

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Lieu : France

samedi, octobre 18, 2008

Love Love Love



en vente le 17/11

mercredi, octobre 15, 2008

George



toujours aussi craquant !!!

mardi, octobre 14, 2008

et le site est réputé !!!

Pour tester suite à de nombreuses publicités vantant la qualité de ce site, je suis allée sur Cadremploi.
Ici ce que j'ai demandé comme recherche




et ici le résultat


La Côte d'Or est en Provence Alpes Côte d'Azur
et peut être qu'en cherchant Dijon, je trouverai Nice.

Je le savais (bis)

Etes-vous " structurellement " ou " temporairement " désordonné ? adepte du " minifoutoir ", des " gratte-ciel de papier " ou du " bon débarras " ? Rassurez-vous, le désordre n’est pas une tare ! Il a même de grandes vertus : on savait qu’il était source de créativité, on apprend qu’il peut être efficace et rentable. A la maison comme dans l’entreprise. Car l’ordre coûte cher, lui, sans être toujours payant. Et si les sept piliers de la gestion du temps de travail étaient autant de préjugés et de mauvaises habitudes ? Et si les systèmes, les institutions ou les gens modérément désorganisés se révélaient souvent plus adaptés, plus résistants, plus efficaces que s’ils étaient soumis à une organisation stricte ? Oui, le désordre est rentable. Il suffit d’observer le changement des mentalités dans les entreprises les plus innovantes : un géant comme Microsoft a toujours travaillé dans le désordre ; même Hewlett-Packard et IBM, ce monstre d’organisation, se sont ouverts à la culture anticonformiste du logiciel libre. Quand le FBI échoue par trop d’organisation, Schwarzenegger, désordonné chronique, triomphe sur tous les fronts. Combien de progrès scientifiques, de grandes réalisations sont le fruit d’un prodigieux désordre : la découverte de la pénicilline, celle des plastiques conducteurs, l’observation du rayonnement fossile du Big Bang, les improvisations fougueuses d’un Jean-Sébastien Bach, des chefs étoilés qui font de leur cuisine un chorus de jazz, un traitement médical qui transforme des vibrations aléatoires en bain de jouvence... Un livre surprenant, réjouissant, dont les idées feront le management de demain. Un livre qui ouvrira les yeux aux inconditionnels de l’ordre et déculpabilisera les désordonnés.

Le blog d’AdmiNet

Je le savais

Marre des maniaques qui prennent des heures pour faire de belles piles et remplir de gros classeurs. Selon Eric Abrahamson, professeur de management à l'Université de Columbia, l'employé idéal est celui qui laisse tout traîner sur son bureau!

«Si un bureau en désordre dénote un esprit brouillon, que dire d'un bureau vide?» affirme le spécialiste américain. Selon lui, les qualités de cette catégorie de travailleurs sont multiples: non seulement ils ne perdent pas de temps dans les rangements, mais ils ont également une personnalité imaginative. Par définition, ils n'aiment pas «ranger» les choses dans des boîtes.

Certains arguments, relevés sur le site Eco89, sont par contre nettement plus discutables: selon Abrahamson, les bordéliques, en ayant toujours tout sous la main, trouveraient les documents beaucoup plus rapidement que leurs collègues ordrés. Il va même plus loin en chiffrant cette vitesse, garantissant un gain de temps de 36% aux bordéliques.

Une efficacité qui les favoriserait sensiblement pour l'avancement, leur promettant ainsi une meilleure carrière.

Bertrand Tappy - le 06 octobre 2008, 20h43
Le Matin Bleu