Ce que j'ai à dire; ce que j'ai pu lire

tout est dans le titre. Et par moment, j'ai même à dire sur ce que j'ai pu lire.

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Lieu : France

mercredi, novembre 22, 2006

SégoStop

En répondant à une question sur Yahoo Q/R, j'ai vu l'adresse de ce site.
Excellent ...
ceux qui me connaissent, connaissent mes opinions (ça m'apprendra à me présenter à des élections)
les autres, bah tant pis
Le test est rafraichissant et je suis soulagée, j'ai assez d'anticorps pour résister à cette maladie (grave si elle touche la France)
Parce que comme je l'ai déjà dit "quitte à ce que la France soit coulée, autant qu'elle soit coulée par quelqu'un de compétent".
Tout ce que j'ai écrit ne veut rien dire mais ce n'est pas grave, car moi, je me comprends.

http://www.segostop.com/index.php

jeudi, novembre 16, 2006

George W. Bush est français

16 nov. 2006 L'OPINION DU JOUR


George W. Bush est français

"Après le revers des républicains aux élections de mi-mandat aux Etats-Unis le 7 novembre dernier, la question ne peut plus être évitée : George Bush est-il français ?", s'interroge le chroniqueur John Thornhill du Financial Times, déjà prêt à répondre par l'affirmative.

"Une volée de bois vert texan attendrait sans doute toute personne qui poserait cette question. Après tout, la France est le pays que le président américain aime détester. Mais Bush s'inscrit beaucoup plus dans la tradition politique française que dans celle de son pays. Son interventionnisme militaire, son absolutisme et sa défense de l'exception nationale renvoient à Napoléon, Louis XIV et Charles de Gaulle. Les électeurs américains s'en sont-ils rendu compte avant d'aller voter la semaine dernière ? Il faut croire que oui puisqu'ils l'ont largement rejeté, ironise l'auteur.

La volonté du locataire de la Maison-Blanche d'intervenir dans des pays comme l'Afghanistan et l'Irak est bien française, souligne Thornhill. "Contrairement à leur réputation de 'singes lâches mangeurs de fromage', les Français forment le peuple plus belliqueux de la planète. Entre 1816 et 1980, la France a mené plus de guerres que tout autre pays, soit 22 (trois de plus que la Grande-Bretagne, qui est à la deuxième place). Paris est même à l'origine des hostilités dans sept cas. Bien avant la formulation de la doctrine de Bush de la 'préemption militaire', les Français l'ont pratiqué en Afrique."

"Bush a aussi une vision de l'exception incarnée par son pays et de l'universalité de ses valeurs qui est proche de l'esprit du gaullisme. Peu de présidents américains ont fait preuve d'autant de volonté pour répandre les valeurs américaines à l'étranger, en utilisant la force si nécessaire. La politique du président Bush pour bouleverser le Moyen-Orient a une ressemblance frappante avec les tentatives napoléoniennes durant la décennie 1790 pour exporter la révolution française à la pointe de la baïonnette."

Bush l'homme d'action serait aussi doublé d'un intellectuel aux yeux de Thornhill, s'approchant encore par là de l'idéal français. "Le président américain, qui a récemment lu l'existentialiste Albert Camus, a aussi démontré qu'il possédait un autre trait profondément français : préférer la théorie à la pratique. Alors que la plupart des présidents américains ont mené des guerres contre des pays, Bush, lui, s'en est pris à un concept abstrait : la terreur. Rien d'étonnant donc que des intellectuels très rive gauche comme Bernard-Henri Lévy et André Glucksmann aient encensé son audace intellectuelle."

"A 'l'Etat, c'est moi' de Louis XIV, Bush a trouvé une contrepartie, moins éloquente certes mais suivant la même logique : 'Je suis le décideur et je décide de ce qui est le mieux'." L'absolutisme selon Bush, résume Thornhill, c'est une augmentation des dépenses publiques et des pouvoirs de la présidence.

"Le plus grand paradoxe de cette histoire tient sans doute au fait que les Européens eux-mêmes préféreraient ne pas avoir un président français sur Pennsylvania Avenue [l'avenue sur laquelle se trouvent la Maison-Blanche et le Congrès à Washington]. Ils aimeraient mieux y voir un vrai président américain qui défende les valeurs démocratiques telles que Washington l'a fait durant presque tout le XXe siècle, qui soutienne les organisations internationales multilatérales [comme l'ONU ou l'OMC] fondés par ses prédécesseurs, qui sache aussi bien parler avec calme que manier la force."

lundi, novembre 13, 2006

le meilleur, c'est lui


Ma préférée du Chat
"Pour être un gros con, pas besoin d'être gros, il suffit d'être con"

C'est bien lui le meilleur non ?

vendredi, novembre 10, 2006

Halte aux avantages

vendredi 10 novembre 2006, 19h07

AP

Education: une vidéo pirate de Ségolène Royal diffusée sur Internet jette un pavé dans la mare

PARIS (AP) - Une vidéo pirate dans laquelle Ségolène Royal propose que les professeurs de collège restent 35 heures dans l'établissement, au-delà de leurs seules heures de cours, risque fort de lui mettre à dos les enseignants. Leurs syndicats se voulaient toutefois prudents vendredi, de peur d'être instrumentalisés par ce que les partisans de Mme Royal qualifient de "malveillance".


Dans cette vidéo anonyme qui aurait été enregistrée à Angers en janvier 2006, la candidate à l'investiture socialiste à la présidentielle propose "que les enseignants restent 35 heures au collège"et donc qu'ils "ne quittent pas le collège quand ils ont fini leurs cours".

Elle y fustige un "système absurde" où "on a maintenant des entreprises cotées en bourse de soutien scolaire" et "ceux qui font cours dans ces entreprises, ce sont les profs du secteur public!".

"Comment se fait-il que des enseignants du secteur public aient le temps d'aller faire du soutien individualisé payant et ils n'ont pas le temps de faire du soutien individualisé gratuit dans les établissements solaires?" Mme Royal propose donc de faire "un pas, y compris pourquoi pas avec les nouvelles générations d'enseignants, si les autres nous disent: ben non, droits acquis, 17h de cours et puis on s'en va!". Cette proposition, "je ne vais pas encore la crier sur les toits parce que je veux pas prendre des coups des organisations syndicales enseignantes", précise-t-elle toutefois en préambule.

Son rival Laurent Fabius n'a pas tardé à s'emparer de cette vidéo: "c'est toujours un peu désagréable d'utiliser des choses faites à l'insu de quelqu'un", mais "un candidat doit tenir le même langage quelque soient les circonstances", a-t-il souligné vendredi sur TV5. "C'est quand même le b.a.ba".


Par ailleurs, "je ne pense pas que ce soit une bonne idée de dire: finalement, les enseignants ils ne travaillent pas". "Il y a des réformes à faire dans l'Education nationale, mais cela doit se faire avec les enseignants et non pas en les prenant comme bouc-émissaires", a-t-il lâché.

"Si la question est d'affirmer que nos enfants ont besoin de plus de soutien scolaire, je dis que c'est une nécessité", a réagi vendredi le troisième candidat à la candidature, Dominique Strauss-Kahn, avant un meeting à Berre-l'Etang (Bouches-du-Rhône). "Maintenant fallait-il le dire de cette façon-là, je n'en suis pas persuadé" et "en tout cas, je ne pense pas que l'on puisse faire sans les enseignants", a-t-il ajouté. "Quant à la méthode, ce sont des façons de faire que je condamne et dont je pense qu'elles n'auront pas d'influence sur le résultat du vote" des militants.


Ces propos "pourraient laisser croire qu'en dehors de leurs 18 heures de cours, les enseignants font plein d'autres choses et vaquent à leurs occupations alors qu'ils ont tout un travail de corrections, de préparation des cours", a regretté Patrick Gonthier, secrétaire général de l'UNSA-Education. Toutefois, ils "ont été tenus en il y a quelques mois et sortent de façon opportune à un moment d'un calendrier électoral qui n'est pas anodin", a-t-il noté.

Même prudence du côté de Bernard Boisseau, secrétaire général du SNES, premier syndicat des enseignants des collèges et lycées: "il y a des dizaines de milliers d'enseignants qui ont été destinataires de cette vidéo", a-t-il affirmé. "On voit bien qu'il s'agit d'une étape dans la campagne interne au PS" et "on n'a pas l'intention de se laisser instrumentaliser par un candidat quel qu'il soit".

Pour le reste, "lorsqu'on dit qu'ils vont travailler dans des instituts privés en plus de leur mission, c'est injurieux", a déploré M. Boisseau. "La semaine d'un enseignant c'est quarante heures et quelques en comptant tout" et "on ne peut pas demander ça en plus aux enseignants".


Arnaud Montebourg, porte-parole de Ségolène Royal, a dénoncé sur Europe-1 des "méthodes un peu curieuses". La candidate socialiste "pose le problème de la marchandisation des produits éducatifs et de l'éducation" et de "la façon dont se développent les soutiens privés", a-t-il souligné.

"Cela fait partie des malveillances" de cette fin de campagne, a également déploré un autre porte-parole de Ségolène Royal, Gilles Savary. Mais "la marque de Ségolène Royal, c'est qu'il n'y ait aucun sujet d'action public tabou". "Elle ne brosse pas dans le sens du poil ce qui est considéré comme la clientèle électorale (du PS, NDLR), tout simplement parce qu'elle les respecte", a-t-il affirmé. AP

co/god/mia1/tl

pour une fois qu'on parle d'Angers

Ségolène était à Angers
elle s'est exprimée
pas de commentaire sur ces paroles